L'Histoire

Le Cirque la Compagnie est un cirque Franco-Suisse créé en 2014. Ses cofondateurs se sont rencontrés et formés à l’École de Cirque de Montréal. Leurs créations prônent les valeurs du cirque en collectif où l’entraide et le partage sont des valeurs fondatrices. L’acrobatie et le risque sont leurs axes de travail principaux.

La première création de la compagnie est le numéro “Planche-Mat”, médaillé d’or au Festival Mondial du Cirque de Demain en 2017. La compagnie se démarque par sa forte identité acrobatique, son humour, sa virtuosité technique, les limites qu’ils ont envie de pousser et leur créativité . Souvent, c’est de leur humour personnel que naissent leurs créations originales et techniquement remarquables. Si l’on devine la singularité de chaque artiste au sein de cette compagnie, c’est surtout dans le groupe que le propos artistique fait sens. Ces personnages sont touchants pas leur simplicité et leur humour est communicatif, provocateur.

De là naît leur premier spectacle pour l’espace public : L’Avis Bidon – Face A (2016), qui rencontre un véritable succès public. Ils créent L’Avis Bidon – Face B (2017), version salle de la Face A. Grâce à ses créations Le Cirque la Compagnie connaît un rayonnement international. Aujourd’hui le Cirque la Compagnie possède son propre chapiteau créé sur mesure à l’image de son ambition. Il accueille Pandax, leur nouveau spectacle né d’une co-mise en scène avec Nico Lagarde.

Pourquoi
le Chapiteau ?

Cirque-la-compagnie

Le chapiteau est un objet esthétique, scénographique et artistique à part entière. Il est porteur de rêve et sa présence dans la cité est un acte fort. Implanter son chapiteau au cœur des villes permet de favoriser une présence artistique sur un territoire. Une présence qui permet de prendre le temps de construire/de vivre des projets ; une présence qui favorise les rencontres.

Le chapiteau pour sa piste circulaire. Pour son rapport et sa proximité au public. Pour être au plus près des sensations transmises et émises. Le chapiteau est un vecteur d’émotion à lui seul mais qui prend toute sa dimension quand il est habité par les artistes et le public.

C’est aussi le moyen pour le Cirque la compagnie d’avoir l’espace de travail qui lui correspond parfaitement. Qui répond aux caractéristiques techniques que les disciplines de cirque demandent. Et qui impose aussi un mode de vie singulier qu’est l’itinérance avec le travail collectif que cela implique.

La place de la tradition circassienne est importante pour le Cirque la compagnie. Le chapiteau représente une partie de l’histoire du cirque et reste un élément très représentatif de cet art. Nous sommes une compagnie dites de « nouveau cirque » et en cela nos spectacles proposent des formes modernes de mise en piste. Nous souhaitons participer à inscrire le chapiteau et le cirque dans le présent et l’avenir.

Nous voulons défendre la présence des chapiteaux au cœur de la place publique. Cette démarche nous parait très importante dans un contexte social et politique moribond.

L'équipe

artistes de cirque

Depuis sa naissance en 1990, il baigne dans le milieu circassien, et cela fait partie intégrante de sa vie. Ses parents travaillant eux-mêmes dans le milieu, l’inscrivent dès l’âge de 3 ans à leur propre école de cirque « Piste d’Azur ».

Il poursuit son apprentissage « presque machinalement », et c’est à l’âge de quinze ans qu’il se rend compte qu’il veut en faire son métier. Il passe son Bac avant de se lancer dans des études circassiennes plus sérieuses.

Tout d’abord la classe préparatoire en 2008 à l’école de ses parents (Piste d’Azur), puis en 2009 l’École Nationale des Arts du Cirque de Rosny-sous-bois, avec la planche coréenne comme spécialité.

Il y rencontre Zackary Arnaud, avec qui il monte un duo de bascule « Des gars de Planche ». Puis ils rejoignent l’ENC de Montréal (l’École Nationale de Cirque) en 2011, et sont gradués en 2014. Il y vit toute cette richesse de rencontres et de mixité de cultures. Depuis il allie travail en duo, et travail en compagnie à travers le monde.

Il aime le voyage, la découverte… 

Petit, sa peur du « monde » a failli le faire passer à côté du rêve qu’il vit maintenant à partager avec les autres.

Avec le cirque, il a trouvé un moyen d’expression et de communication. C’est un dialogue physique, gestuel plus que verbal qui s’instaure entre lui et le public, favorisant le rire, la joie, et même le questionnement …. un privilège, une passion !…

Afin de poursuivre ses formations à l’ENACR (Rosny-sous-Bois) et à l’ENC de Montréal (l’École Nationale de Cirque), il quitte à 17 ans son hameau de Gaudoux (près de Auch dans le Gers).

S’ensuit sa découverte du monde, sa confrontation à de nouvelles cultures et personnes. Il accède à une formation plus spécifique en planche coréenne. A travers ses engagements professionnels internationaux (Afrique du Sud, Emirats Arabes, Japon, Allemagne), il vit des rencontres qu’il qualifie de « chanceuses ».

Depuis « le petit garçon qui ne voulait pas s’entraîner à 10 ans, a bien grandi !… », il est avide de spectacle, d’apprendre, d’expérimenter et de rencontrer le public.

Charlie a découvert le cirque à l’âge de 12 ans. 

Pourquoi ? On ne sait pas. 

Après avoir déménagé de Bordeaux à l’âge de 3 mois, puis de Conflans-Sainte-Honorine (75) à 6 ans et enfin de La Rochelle à 11 ans, il s’inscrit à l’école de Cirque de Bordeaux où débutera sans le savoir, un goût passionné pour la piste. 

Après ces 5 années à l’école de Bordeaux, il se dirige dans le cirque de manière plus investie. L’école de Cirque de Châtellerault, constituera « l’équilibre » entre le cirque et les études. Après ça, sûr de lui il embarquera sur le première avion direction Montréal pour 4 années à l’ENC de Montréal (l’École Nationale de Cirque). Charlie pratique alors tous les genres acrobatiques, dont les chaises acrobatiques avec lesquelles il est gradué de l’école, puis la bascule, le trampo-mur, le fil mou, et même le lancer de couteaux. Il expérimente la tournée en caravane, puis il monte la troupe :  « le Cirque la Compagnie » pour y développer avec enthousiasme, une synergie à 5 compères.

Depuis sa naissance en 1990, il baigne dans le milieu circassien, et cela fait partie intégrante de sa vie. Ses parents travaillant eux-mêmes dans le milieu, l’inscrivent dès l’âge de 3 ans à leur propre école de cirque « Piste d’Azur ».

Il poursuit son apprentissage « presque machinalement », et c’est à l’âge de quinze ans qu’il se rend compte qu’il veut en faire son métier. Il passe son Bac avant de se lancer dans des études circassiennes plus sérieuses.

Tout d’abord la classe préparatoire en 2008 à l’école de ses parents (Piste d’Azur), puis en 2009 l’École Nationale des Arts du Cirque de Rosny-sous-bois, avec la planche coréenne comme spécialité.

Il y rencontre Zackary Arnaud, avec qui il monte un duo de bascule « Des gars de Planche ». Puis ils rejoignent l’ENC de Montréal (l’École Nationale de Cirque) en 2011, et sont gradués en 2014. Il y vit toute cette richesse de rencontres et de mixité de cultures. Depuis il allie travail en duo, et travail en compagnie à travers le monde.

Il aime le voyage, la découverte… 

Petit, sa peur du « monde » a failli le faire passer à côté du rêve qu’il vit maintenant à partager avec les autres.

Avec le cirque, il a trouvé un moyen d’expression et de communication. C’est un dialogue physique, gestuel plus que verbal qui s’instaure entre lui et le public, favorisant le rire, la joie, et même le questionnement …. un privilège, une passion !…

Afin de poursuivre ses formations à l’ENACR (Rosny-sous-Bois) et à l’ENC de Montréal (l’École Nationale de Cirque), il quitte à 17 ans son hameau de Gaudoux (près de Auch dans le Gers).

S’ensuit sa découverte du monde, sa confrontation à de nouvelles cultures et personnes. Il accède à une formation plus spécifique en planche coréenne. A travers ses engagements professionnels internationaux (Afrique du Sud, Emirats Arabes, Japon, Allemagne), il vit des rencontres qu’il qualifie de « chanceuses ».

Depuis « le petit garçon qui ne voulait pas s’entraîner à 10 ans, a bien grandi !… », il est avide de spectacle, d’apprendre, d’expérimenter et de rencontrer le public.

Charlie a découvert le cirque à l’âge de 12 ans. 

Pourquoi ? On ne sait pas. 

Après avoir déménagé de Bordeaux à l’âge de 3 mois, puis de Conflans-Sainte-Honorine (75) à 6 ans et enfin de La Rochelle à 11 ans, il s’inscrit à l’école de Cirque de Bordeaux où débutera sans le savoir, un goût passionné pour la piste. 

Après ces 5 années à l’école de Bordeaux, il se dirige dans le cirque de manière plus investie. L’école de Cirque de Châtellerault, constituera « l’équilibre » entre le cirque et les études. Après ça, sûr de lui il embarquera sur le première avion direction Montréal pour 4 années à l’ENC de Montréal (l’École Nationale de Cirque). Charlie pratique alors tous les genres acrobatiques, dont les chaises acrobatiques avec lesquelles il est gradué de l’école, puis la bascule, le trampo-mur, le fil mou, et même le lancer de couteaux. Il expérimente la tournée en caravane, puis il monte la troupe :  « le Cirque la Compagnie » pour y développer avec enthousiasme, une synergie à 5 compères.

Originaire d’un petit village français, non loin d’Angers dans le Maine et Loire.

Je découvre le cirque à l’âge de 5 ans, passe mon bac littéraire option lourde “Art du Cirque” au Lycée Marcelin Berthelot à Chatellerault (où je découvre l’échelle libre et l’acrobatie). 

Bac en poche je prend mon avion, et pars pour 3 années à l’Ecole Nationale de Cirque de Montréal, où je me perfectionne en échelle, acrobatie générale et jeu d’acteur (j’ai travaillé pendant deux ans avec Peter James, acteur confirmé que je respecte).

Suite à ça, je m’épanouis à me balader de contrats en contrats avec à la clé : rencontres, beaux moments de scène, beaux moments de vie, beaux moments de doutes… l’école de la vie que je veux vivre.

Né le 22 juin 1991 à Delémont, une petite ville, dans le Jura, un petit canton, en Suisse, un petit pays, et tout cela pour lui donner de grandes ambitions…

Durant son enfance, il démontre un goût certain pour le risque et la chute !.. 

Un beau jour, le cirque a canalisé son énergie et l’a transformé en acrobate. Durant 10 ans, de façon assidue, il découvre le monde du cirque dans sa petite ville natale.

Sous chapiteau, il est formé aux bases des disciplines circassiennes. La découverte du mât chinois lui déclenche une motivation particulière, et il s’y investit pleinement.
 En 2011, il quitte famille et amis pour accéder à l’ENC de Montréal (l’École Nationale de Cirque). Ces 4 années intenses de formation professionnelle confirme sa passion, et l’envie de partager à travers ses spectacles, où mât chinois et planche coréenne interviennent en support majeur.

Originaire d’un petit village français, non loin d’Angers dans le Maine et Loire.

Je découvre le cirque à l’âge de 5 ans, passe mon bac littéraire option lourde “Art du Cirque” au Lycée Marcelin Berthelot à Chatellerault (où je découvre l’échelle libre et l’acrobatie). 

Bac en poche je prend mon avion, et pars pour 3 années à l’Ecole Nationale de Cirque de Montréal, où je me perfectionne en échelle, acrobatie générale et jeu d’acteur (j’ai travaillé pendant deux ans avec Peter James, acteur confirmé que je respecte).

Suite à ça, je m’épanouis à me balader de contrats en contrats avec à la clé : rencontres, beaux moments de scène, beaux moments de vie, beaux moments de doutes… l’école de la vie que je veux vivre.

Né le 22 juin 1991 à Delémont, une petite ville, dans le Jura, un petit canton, en Suisse, un petit pays, et tout cela pour lui donner de grandes ambitions…

Durant son enfance, il démontre un goût certain pour le risque et la chute !.. 

Un beau jour, le cirque a canalisé son énergie et l’a transformé en acrobate. Durant 10 ans, de façon assidue, il découvre le monde du cirque dans sa petite ville natale.

Sous chapiteau, il est formé aux bases des disciplines circassiennes. La découverte du mât chinois lui déclenche une motivation particulière, et il s’y investit pleinement.
 En 2011, il quitte famille et amis pour accéder à l’ENC de Montréal (l’École Nationale de Cirque). Ces 4 années intenses de formation professionnelle confirme sa passion, et l’envie de partager à travers ses spectacles, où mât chinois et planche coréenne interviennent en support majeur.

à la musique

Je vois le jour à Cannes, début 92. On ne me demande pas vraiment mon avis, mais ma famille est circassienne, alors je grandis à l’école de cirque. Plus tard, j’ajoute le tennis et le rugby, mais c’est le cirque qui restera toujours. Après le bac, je débute la fac de Science. En 2012, on me propose de faire la poursuite sous le chapiteau du cirque de Monte-Carlo, j’accepte sans trop réfléchir, mais c’est cette décision qui va tout changer. Je découvre l’univers de la technique et fait des rencontres inoubliables.

En 2015, j’obtiens mon Master en Science de l’Environnement, mais dans un coin de ma tête, je me dis que le cirque pourrait bien être mon métier. Je laisse alors mon diplôme prendre la poussière dans une boîte à chaussure et commence mes premiers contrats en tant que road. Je fais mes armes sur le terrain. En 2017, on me propose d’en être sur la 1ere tournée du Cirque La Compagnie, je fais semblant de réfléchir, et accepte.

Après la formation « technicien du spectacle vivant » à Tetraccord, Marseille, la 2ème tournée débute. Quelques pays et 70 spectacles plus tard, je suis prêt. Dans le même temps je fais mes premières créations lumière pour le spectacle « La Marelle » de la Cie L et Piste d’Azur. L’aventure a commencé. Pour la première fois, 25 ans après ma naissance, je sens que je suis à l’endroit où j’ai envie d’être.

Je vois le jour à Cannes, début 92. On ne me demande pas vraiment mon avis, mais ma famille est circassienne, alors je grandis à l’école de cirque. Plus tard, j’ajoute le tennis et le rugby, mais c’est le cirque qui restera toujours. Après le bac, je débute la fac de Science. En 2012, on me propose de faire la poursuite sous le chapiteau du cirque de Monte-Carlo, j’accepte sans trop réfléchir, mais c’est cette décision qui va tout changer. Je découvre l’univers de la technique et fait des rencontres inoubliables.

En 2015, j’obtiens mon Master en Science de l’Environnement, mais dans un coin de ma tête, je me dis que le cirque pourrait bien être mon métier. Je laisse alors mon diplôme prendre la poussière dans une boîte à chaussure et commence mes premiers contrats en tant que road. Je fais mes armes sur le terrain. En 2017, on me propose d’en être sur la 1ere tournée du Cirque La Compagnie, je fais semblant de réfléchir, et accepte.

Après la formation « technicien du spectacle vivant » à Tetraccord, Marseille, la 2ème tournée débute. Quelques pays et 70 spectacles plus tard, je suis prêt. Dans le même temps je fais mes premières créations lumière pour le spectacle « La Marelle » de la Cie L et Piste d’Azur. L’aventure a commencé. Pour la première fois, 25 ans après ma naissance, je sens que je suis à l’endroit où j’ai envie d’être.

au bureau